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Super Saiyan 4 Sangoku : Pourquoi cette transformation reste la plus mystérieuse de Dragon Ball GT

Par Aurore , le 19 septembre 2025 à 02:13 , mis à jour le 23 septembre 2025 - 4 minutes de lecture
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Super Saiyan 4 fait un retour tonitruant ! La nouvelle série Daima l’intègre officiellement au canon et bouleverse la chronologie, réveillant la fascination née dans Dragon Ball GT. Pourtant, malgré cette lumière récente, la métamorphose de Sangoku conserve un parfum d’énigme.

Super Saiyan 4 canonisé : quand le mythe dépasse la nostalgie

Le dernier épisode de Daima diffuse une image saisissante : Sangoku enveloppé d’une fourrure rubiconde et d’une aura noire. Pour la première fois, la série principale reconnaît la forme introduite dans Dragon Ball GT. Cette officialisation répond à vingt-neuf ans de débats et ouvre un nouveau chapitre, plus dense que prévu.

Pourquoi ? Parce que Toriyama, discret mais décisif, a validé le design et demandé d’y greffer un rituel inspiré du singe géant doré, symbole atavique de la race Saiyan. Résultat : une transformation qui fusionne puissance bestiale et lucidité martiale, rendant l’instant quasi chamanique.

Origine secrète ou simple réveil ?

La série révèle que Super Saiyan 4 sommeillait en Sangoku depuis un entraînement secret post-Majin Buu. Neva, nouveau protagoniste Namek, n’aurait fait que déclencher cette énergie latente. Cette explication, concise, s’aligne sur la logique “d’étage caché” déjà utilisée pour Super Saiyan 3 ou Blue.

Cependant, l’absence d’indices dans Dragon Ball Super interroge. Lors de son duel contre Beerus, Goku qualifie encore le SSJ3 de sommet, ignorant cette forme rouge sombre. La cohérence vacille, mais Daima parie sur une réconciliation future : Beerus aurait jugé cette puissance trop instable pour un combat cosmique, justifiant son invisibilité passée.

Crise de continuité : GT, Daima et la “symphonie narrative”

Depuis 1996, Dragon Ball GT restait officieux, quasi légendaire. En 2025, Daima transforme ce récit parallèle en préquelle spirituelle. Les scénaristes utilisent l’image du palimpseste : on ne gomme pas GT, on écrit par-dessus en conservant l’encre d’origine.

Concrètement, la condition sine qua non demeure identique : atteindre l’état de singe géant doré, reprendre conscience, puis condenser l’énergie. Ce rituel confère au SSJ4 un aspect liturgique, contrastant avec la montée “arithmétique” des formes Blue ou Ultra Instinct. L’aura sauvage devient un vecteur d’émotion, et non un simple multiplicateur de ki.

La réception des fans : admiration et perplexité

Sur les réseaux, le hashtag “SSJ4IsBack” explose. Une frange acclame le retour d’une forme jugée plus organique, plus viscérale. D’autres regrettent un scénario jugé “paresseux”, estimant que la quête d’une origine ésotérique aurait magnifié l’instant.

L’influence historique n’est pas niée : l’épisode, diffusé le 14 février, culmine alors que l’anniversaire du décès de Toriyama approche. Cet écho émotionnel crée un effet cathartique, presque commémoratif, qui atténue les critiques les plus virulentes.

Quels impacts pour la suite de la franchise ?

Daima conclura le 28 février. Les producteurs laissent planer l’idée d’un combat final adulte, renouant avec l’icône musculaire de Dragon Ball GT. Si cette promesse se réalise, la saga obtiendra une passerelle officielle entre GT, Super et Daima, créant un continuum inédit.

Du côté marketing, Bandai prépare déjà une ligne de figurines “Legacy Fury” où Sangoku Super Saiyan 4 côtoie ses alter ego Blue et Ultra Instinct. Les précommandes témoignent de l’appétence : certaines boutiques japonaises ont atteint un taux de réservation de 92 % en quarante-huit heures !

Enjeux narratifs : réconciliation ou nouvelle discordance ?

La prochaine étape sera cruciale. Si Daima justifie pourquoi le SSJ4 n’apparaît pas dans l’arc Granolah de Super, la franchise cimentera la cohérence tant attendue. Dans le cas contraire, la forme rouge-ébène restera un joyau contradictoire, mais brillant.

Quoi qu’il advienne, le pouvoir symbolique de Super Saiyan 4 demeure. Fusion idéale entre l’ancestral et le moderne, il rappelle qu’une saga de quarante ans continue d’étonner lorsqu’elle ose revisiter ses propres légendes !

aurore lavaud

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.

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