Super Saiyan 4 : pourquoi cette forme de Sangoku fascine encore 20 ans après ?

Vingt ans après son apparition dans Dragon Ball GT, la forme Super Saiyan 4 revient sur le devant de la scène grâce à la finale choc de « Dragon Ball Daima ». Les réseaux ont explosé : fans de longue date, nouveaux spectateurs de Crunchyroll, tout le monde débat des implications pour la continuité. Pourquoi cette silhouette mi-simiesque, mi-divine, conserve-t-elle un tel pouvoir d’attraction ?
Super Saiyan 4 bouleverse la conclusion de Dragon Ball Daima
Sans avertissement, Goku enfant passe au Super Saiyan 4 face à Gomah, aidé par le Namekien Neva. Le public découvre que l’entraînement hors écran mené après Majin Buu suffisait à déclencher la métamorphose ! L’effet de surprise ravive l’excitation vécue lors du décès de Krillin ou du choc Cell versus Gohan.
Cette entrée fracassante relance toutefois un vieux débat : pourquoi Goku n’a-t-il pas utilisé cette puissance contre Beerus ? La question taraude la communauté et force Toei Animation à clarifier la timeline. En attendant, les chiffres de visionnage explosent et confirment l’appétit du marché.
Une filiation directe avec l’héritage Saiyan
Visuellement, la transformation fusionne l’Oozaru doré et le guerrier divin. Les designers de Jump Comics voulaient rappeler la nature primale du peuple Saiyan tout en dépassant le simple changement de couleur de cheveux. Résultat : fourrure rouge, queue réactivée et regard bestial soulignent la tension entre instinct et maîtrise.
Cette dualité séduit parce qu’elle raconte quelque chose de l’humain : l’équilibre entre contrôle de soi et pulsion. Les travailleurs d’aujourd’hui ne s’y trompent pas ; le thème du potentiel latent libéré à l’instant décisif fait écho à la quête de performance en entreprise.
Une esthétique incontournable pour Bandai et Figurarts
Le design unique nourrit un merchandising florissant. Les figurines Bandai, les statues Banpresto et les modèles Figurarts s’arrachent depuis l’annonce de « Daima ». À Tokyo, un prototype taille réelle a créé un embouteillage devant la boutique Cospa !
Les couleurs saturées, la musculature réaliste et la pose conquérante garantissent un effet vitrine imparable. Les chaînes de distribution notent déjà une augmentation à deux chiffres des précommandes pour 2025, période stratégique avant les fêtes.
Le casse-tête de la continuité chez Toei Animation
Le studio jongle avec plusieurs trames : « GT » n’était pas canon, « Super » l’est, et « Daima » se glisse entre les deux. Ce jeu d’équilibriste rappelle les RH face à un organigramme mouvant : chaque décision doit sembler logique pour préserver la confiance.
Pour justifier l’absence du Super Saiyan 4 lors du combat contre Beerus, un scénariste a évoqué un plafond d’énergie lié au corps adulte. Il suffirait d’un flashback pour solidifier l’explication et éviter la dissonance. Les fans attendent un complément dans le prochain guide officiel chez Shueisha.
Le public de 2025 plébiscite une icône intergénérationnelle
La série reste accessible via Crunchyroll et les coffrets Blu-ray distribués par VIZ Media. Les nouvelles générations découvrent Goku par la nostalgie de leurs parents, créant un pont culturel rentable. La chaîne de valeur complète, de la diffusion numérique au produit dérivé, illustre la stratégie 360° chère aux maisons d’édition japonaises.
Au-delà du commerce, la figure du Super Saiyan 4 renvoie à l’idée de seconde carrière. Goku prouve qu’un retour à la source peut propulser vers de nouveaux sommets. En entreprise comme sur le terrain de badminton, libérer ce potentiel caché peut transformer un collectif tout entier !

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.
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