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Super Saiyan 4 Goku : la vérité derrière sa puissance « supérieure à toutes les autres »

Par Aurore , le 23 septembre 2025 à 02:35 , mis à jour le 23 septembre 2025 - 4 minutes de lecture
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Super Saiyan 4 revient sous les projecteurs ! Le dernier épisode de Dragon Ball Daima dévoile enfin l’origine réelle de cette forme, mais la réponse soulève plus de doutes que de cris d’extase. Les forums débordent d’arguments et de nostalgie, tandis que l’héritage laissé par Akira Toriyama reste le fil rouge de toutes les discussions.

Super Saiyan 4 : une ascension contestée depuis Dragon Ball Daima

La production signée Toei Animation pensait frapper fort : révéler que Goku maîtrisait déjà le Super Saiyan 4 à la suite d’un entraînement secret post-Majin Buu. Résultat ? Un soulagement fugace, puis une vague de perplexité. Nombreux attendaient un lien charnel avec l’Oozaru doré ou le mystérieux Namek Neva, pas une simple réactivation impromptue.

La réaction des fans rappelle l’accueil mitigé du Super Saiyan 3 en 1995 : spectaculaire, mais narrativement expédié. L’histoire se répète, et les lecteurs de Jump Comics pointent déjà du doigt l’absence de véritable rite de passage.

L’entraînement secret post-Buu : retour sur un récit bancal

Dans le script de 2025, Goku explique avoir éveillé cette forme en marge de tous, à l’image de sa progression vers le Super Saiyan Blue guidée par Whis. Cependant, son aveu contredit la scène mythique de Dragon Ball Super où il affirme que le Super Saiyan 3 demeure son sommet face à Beerus. Pourquoi taire une puissance prétendument « supérieure à toutes les autres » ?

Un paradoxe face au canon officiel et au marketing mondial

Sur le plan économique, l’incohérence intrigue. Les catalogues de Bandai, Tamashii Nations ou Dragon Stars exploitent déjà la silhouette rouge et noire de Goku SS4. Pourtant, l’anime peine à justifier en interne cette transformation, comme si la logique de la vitrine dépassait celle du récit.

Du côté de Shueisha, les éditeurs maintiennent que Daima reste un projet « hommage ». L’argument suffit-il ? Pas pour tout le monde. Des analystes rappellent que Funimation avait su, à l’époque de GT, offrir une chronologie cohérente malgré les divergences de ton.

Pourquoi Goku n’a-t-il pas invoqué cette forme contre Beerus ?

L’explication la plus répandue tient à la maîtrise de l’endurance : le Super Saiyan 4 drainerait la vitalité plus vite que l’Ultra Instinct. Cependant, aucune ligne de dialogue ne le confirme. La solution pourrait venir d’un futur arc papier, déjà teasé lors du Banpresto World Figure Colosseum : Vegeta enquêterait sur les limites physiologiques de cette forme, ouvrant la porte à un éclaircissement tardif.

En attendant, la communauté reste divisée : authenticité ou simple fan-service ? La question revient en boucle sur X, surtout après la mise en ligne du storyboard coupé par Toei Animation.

Les échanges s’enflamment puis s’apaisent ; la passion oscille.

L’héritage Saiyan célébré… mais au prix de la cohérence

Le dernier acte de Daima oppose Goku SS4 à Gomah, Seigneur Démon à la puissance titanesque. La mise en scène rappelle le souffle épique de la saga Cell : musiques grandioses, éclair rougeoyants, et un Kamehameha final invoquant l’aura de l’Oozaru. Visuellement, un régal.

Symboliquement, la date de diffusion — un an après la disparition de Akira Toriyama — amplifie l’émotion. Les studios saluent le créateur avec un cadre plein d’énergie, comme un salut martial partagé avec toutes les générations de spectateurs.

Le coup fatal porté à Gomah : hommage vibrant à Toriyama

Le choc final se conclut par la transmission du Royaume Démoniaque à Majin Kuu, clin d’œil discret à l’arc Buu. Les animatiques internes montrent un storyboard signé d’anciens collaborateurs de Toriyama, gage de respect envers la grammaire visuelle originelle. Ce passage scelle le lien entre modernité et tradition, même si certaines articulations scénaristiques restent discutables.

Dans les coulisses, Toei Animation et Bandai préparent déjà une ligne commémorative : figurines articulées, bustes résine, cross-promotion avec Tamashii Nations. L’idée est claire : prolonger la légende, fidéliser la communauté, et rappeler que, malgré les incohérences, l’étincelle créative de Dragon Ball continue d’illuminer l’industrie mondiale.

aurore lavaud

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.

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