La transformation la plus redoutée : Sangoku Super Saiyan 4, entre mythe et réalité

Super Saiyan 4 revient sur le devant de la scène ! Cette forme, née dans Dragon Ball GT, intègre la chronologie officielle via Dragon Ball Daima et ravive un débat épique : puissance brute ou transcendance divine ? Toei Animation confirme, la mythique crinière noire et la fourrure écarlate n’ont pas dit leur dernier mot.

Super Saiyan 4 : l’héritage sauvage de Dragon Ball GT prend sa revanche

Lorsque Goku fusionne l’instinct primaire du Grand Singe avec la maîtrise acquise dans Dragon Ball Z, il atteint une forme que ni Ultra Instinct ni Super Saiyan Blue ne peuvent égaler en termes d’iconicité. La transformation exige le retour de la queue, un passage par le Singe Doré puis la reconquête de la conscience, rappelant à chaque fan le fameux principe : « Le pouvoir vient en réponse à un besoin, pas à un désir. » La narration s’appuie ici sur l’émotion brute plutôt que sur un rituel divin, détail qui séduit toujours en 2025.

Pourquoi Goku adopte enfin cette forme dans Dragon Ball Daima ?

La nouvelle série explore l’idée d’un multivers fragilisé où les techniques divines semblent inefficaces. Dévoiler SSJ4 devient alors stratégique : renouer avec les racines Saiyan pour contrer une menace qui neutralise l’énergie des Dieux.

SSJ4 ou pouvoirs divins : un duel qui restructure la hiérarchie des forces

Au Tournoi du Pouvoir, Goku n’utilise jamais SSJ4, signe que la forme restait hors continuité. En 2025, l’équation change : Daima officialise la légitimité de la transformation et replace la discussion sur la table des communautés Crunchyroll comme des forums Jump Comics. Les comparatifs montrent une endurance supérieure à SSJ3 et une dépense énergétique moindre que l’Ultra Instinct, atouts cruciaux dans des combats prolongés.

Endurance et sang-froid : les atouts techniques de la forme

SSJ4 amortit la perte de ki, laissant à Goku la capacité d’improviser, un trait déterminant face aux Dragons de l’Ombre. Lorsqu’Eis Shenron l’aveugle, il maintient la pression malgré une puissance réduite de moitié, preuve qu’endurance et clarté mentale sont au cœur de cette évolution.

Bandai, Tamashii Nations et la ruée vers la fourrure rouge

Le retour de SSJ4 stimule l’industrie du produit dérivé. Bandai et Tamashii Nations dévoilent des figurines articulées haut de gamme tandis que Banpresto mise sur des statues à prix doux. Les précommandes explosent sur Manga Distribution et les rayons Carrefour Manga affichent déjà des ruptures ! Même Funko entre dans la danse avec une POP exclusive, preuve que l’aura sauvage séduit au-delà du cercle des puristes.

Marketing gagnant, communauté exigeante

Les chiffres de Toei Animation indiquent un pic de visionnage de 18 % dès l’épisode où la transformation réapparaît. Cette croissance, associée à une campagne conjointe avec Crunchyroll, montre que l’émotion liée aux origines Saiyan reste un levier marketing incontournable. « On peut faire respecter un cadre… sans fermer la porte au dialogue », souligne un community manager, rappelant que les fans veulent être écoutés, pas seulement monétisés.

Un symbole identitaire qui traverse les époques

Au-delà du combat, SSJ4 redonne une place centrale à l’histoire d’une race façonnée par la survie. Goku redevient le guerrier qui doit maîtriser la bête intérieure, message puissant pour une génération qui se débat entre hyperconnexion et besoin d’authenticité. La saga rappelle ainsi qu’un désaccord n’est pas un conflit : c’est une occasion de mieux se comprendre, même pour un Saiyan.

Et demain ?

Les scénaristes laissent entendre que Vegeta pourrait suivre la même voie, ouvrant sur un possible duel SSJ4 vs SSJ4 inédit. Si cette piste se confirme, le débat passera de la théorie aux chiffres concrets de puissance, un terrain où experts et passionnés se retrouveront avec la même ferveur qu’en 1996 lors de la première diffusion de GT.

Dragon Ball prouve une nouvelle fois que revenir aux fondamentaux peut surprendre autant qu’innover. Une conclusion ? Plutôt un rendez-vous, car la fourrure rouge n’a pas fini de faire rugir les arènes interstellaires !

Aurore

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.