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Pokémon Noir et Blanc : la Pokémon Company dépose des domaines Unova évoquant de futurs jeux

Par Aurore , le 23 septembre 2025 à 02:28 - 4 minutes de lecture
la pokémon company suscite l’attente en déposant de nouveaux noms de domaine liés à unova, laissant présager l’arrivée de futurs jeux pokémon noir et blanc. découvrez les détails !

La Pokémon Company vient d’enregistrer plusieurs adresses web reliées à Unova, relançant l’espoir d’un retour tonitruant de Pokémon Noir et Pokémon Blanc ! En pleine année 2025, ce dépôt de domaines suggère des projets déjà bien avancés. Les joueurs flairent un troisième opus ou un remake ambitieux, tandis que Nintendo reste muet.

Dépot de domaines Unova : un tremplin vers de nouveaux Jeux vidéo Pokémon

Les registres ouverts ce lundi listent plusieurs URL combinant « Unova » à des mentions de version, un procédé classique utilisé avant chaque annonce majeure de la franchise Pokémon. En 2022, ce même schéma avait précédé l’officialisation de Légendes Arceus, preuve que le timing n’est jamais fortuit.

Les analystes voient déjà poindre un « Black & White Legacy » développé en tandem par Game Freak et Pokémon Company International. Le choix d’Unova surprend peu ; cette région inspirée de New York, appelée Région d’Unys en France, fête les quinze ans de son lancement : la nostalgie est palpable !

Un héritage narratif qui captive toujours

L’arc animé de 2010 reste gravé dans les mémoires. Qui a oublié la première rencontre entre Sacha, Iris et un Coupenotte espiègle ? Les audiences hebdomadaires de la saison 14, disponibles en streaming depuis peu, ont bondi de 28 % lors de la rediffusion de l’épisode « Dans l’ombre de Zekrom ». Cette vigueur prouve la valeur intacte du scénario centré sur la Team Plasma.

En coulisses, Nintendo sait que la dualité idéologique de N, personnage clé d’Unova, offre une profondeur rare aux jeux vidéo Pokémon. Un futur titre pourrait pousser plus loin le dilemme « liberté des Pokémon vs. liens humains », un thème éminemment actuel à l’ère de l’IA générative.

Pourquoi la Franchise Pokémon capitalise sur Unova en 2025

L’écosystème Pokémon n’a jamais été aussi vaste : anime, cartes, séries Netflix, attractions temporaires dans les Nintendo Store. Miser sur Unova, c’est exploiter un vivier de créatures déjà aimées, tout en introduisant assez de matière pour renouveler le gameplay ; souvenons-nous des formes régionales apparues sur Switch.

Par ailleurs, une extension TCG « Unys Reborn » est déjà datée pour juin 2025 au Japon. Synchroniser jeu vidéo et cartes assure un marketing croisé redoutable : chaque booster paraphe la rumeur avant même la bande-annonce officielle.

Le dépôt de domaines : cuirasse juridique ou arme de buzz ?

Protéger des noms de sites évite les cybersquatters, mais c’est aussi une manœuvre pour jauger l’opinion. Les requêtes Google « Black 3 » et « White 3 » ont explosé de 520 % en vingt-quatre heures. Les investisseurs y voient un test de marché grandeur nature ; plus la fièvre grimpe, plus l’annonce finale frappera fort.

Cette stratégie ferme également la porte à la concurrence : un brevet accordé à Nintendo sur une mécanique de capture dynamique, enregistré début avril, verrouille l’innovation pour tout studio tiers. Un signe : la firme veut sanctuariser le prochain opus avant son dévoilement.

Entre-temps, les réseaux s’enflamment. Les speedrunners rêvent d’un monde ouvert de taille équivalente à Paldea, mais bercé par les gratte-ciel d’Illumis version Unova. Les casual gamers, eux, réclament un mode histoire plus court, conscients de leur rythme de vie effréné.

Une question persiste : La Pokémon Company osera-t-elle bousculer la formule autant qu’elle l’a fait avec Légendes ? Réponse imminente, car l’E3 virtuel de juin n’attend personne !

aurore lavaud

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.

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