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Le producteur de Dragon Ball Daima sème le doute la série est elle liée à Super ou totalement à part

Par Aurore , le 22 octobre 2025 à 00:02 — disco - 3 minutes de lecture
le producteur de dragon ball daima attise la curiosité des fans en laissant planer le doute : la série est-elle connectée à dragon ball super ou s'agit-il d'une aventure totalement indépendante ? découvrez les dernières révélations !

Le doute plane encore ! Le producteur Akiyo Itou, en pleine promo printemps 2025, vient de glisser une phrase qui fait vaciller toutes les certitudes des fans. Selon lui, Dragon Ball Daima pourrait être à la fois suite et hors-série : gros paradoxe qui relance le débat sur la place de l’anime dans la chronologie.

Dragon Ball Daima canon ou pas ? Le producteur souffle le chaud et le froid en 2025

Lors d’une interview accordée au magazine Animedia, le producteur affirme que l’intrigue se positionne « après Majin Buu, mais avant que l’Univers ne bascule vers Super ». Jolie pirouette : il parle de pont scénaristique, sans jamais dire si ce pont rejoint vraiment la rive Super. Résultat : Internet explose, chacun y va de son arbre généalogique des arcs pour prouver ou démentir la connexion. Les studios Toei, eux, laissent faire ce brouhaha plutôt rentable.

Les indices qui relient subtilement Daima à Dragon Ball Super

Premier clin d’œil : la présence furtive d’un Dieu de la Destruction miniature dans l’épisode 8, designé exactement comme Beerus avant colorisation finale. Deuxième élément : la nouvelle technique de Son Goku, le Ryūjin Flash, utilise un motif d’aura identique au Super Saiyan Blue, mais teinté d’oranger. Enfin, le script mentionne l’« épreuve des douze univers », terme impossible à ignorer pour qui a vu le Tournoi du Pouvoir. Pris séparément, ces signes semblent anodins ; mis bout à bout, ils esquissent un alignement discret sur Super.

Un récit totalement indépendant ? les arguments des sceptiques

Beaucoup rappellent que Toriyama, avant son décès début 2024, avait décrit Daima comme « un conte léger, sans pression de cohérence ». Le ton enfantin, les transformations réduites, et l’absence totale de Freezer ou de Jiren renforcent cette lecture. De plus, Daima réactive le concept de Dragon Balls Noires déjà vu dans GT, série non canon : pour les puristes, c’est la preuve qu’on est hors timeline. Itou joue de cette ambigüité, peut-être pour se garder toutes les cartes sur la table si un nouvel arc Super voyait le jour.

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L’héritage de Toriyama, facteur clé de la confusion

Le mangaka gérait encore les storyboards principaux, mais la supervision a basculé vers son assistant Katsuyoshi Nakatsuru après l’épisode 15. Certains changements de ton, plus sérieux, sont visibles dès lors : Gohan redevient étudiant, Piccolo médite sur la place des Nameks dans l’univers. Ce glissement rappelle Super Hero plutôt que l’arc Buu. Ilô ajoute que “Toriyama n’aimait pas cloisonner ses récits”. Difficile, donc, de chercher une frontière nette lorsque l’auteur lui-même brouille les pistes.

Quel avenir pour la chronologie officielle après Daima

Toei a déjà déposé le titre provisoire « Dragon Ball Eternal ». Les rumeurs parlent d’un anime qui fusionnerait les éléments les plus populaires de Super, Daima et même GT, pour répondre à la fragmentation actuelle. Si Daima reste flou, c’est peut-être pour ouvrir cette porte sans devoir renier le passé ; une stratégie prudente, presque diplomatique. Dans les studios, on chuchote qu’un comité de continuité vient d’être crée, signe que la production veut enfin stabiliser l’univers canon avant le cinquantième anniversaire de la licence en 2026.

aurore lavaud

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.

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