Goodies manga rentrée 2025 les surprises qui font vibrer les fans de Japanimation

Les files d’attente se forment déjà devant le Hall 5A : les fans savent que la rentrée 2025 rime avec chasse au trésor. Posters, shikishis acryliques et tote-bags se négocient au pas de course, tant les stocks fondent en quelques heures. Entre géants du secteur et éditeurs indépendants, l’offre atteint cette année un niveau inégalé !
Goodies manga rentrée 2025 : l’heure des exclusivités a sonné
Dès l’ouverture, le pavillon manga vibre sous l’impulsion de Bandai et Toei Animation, tandis que le Crunchyroll Store draine les premiers curieux. Les marques japonaises croisent le fer avec Banpresto, Good Smile Company et Kotobukiya : chaque stand aiguise les collectionneurs avec ses séries phares et ses objets rares. Les visiteurs aguerris repèrent déjà les zones à fort potentiel, Hall 5A pour les mangas, Hall 6 pour les animations !
Loin du simple souvenir, le goodies devient argument d’achat ; un poster inédit ou un badge holographique peut décider l’acquisition d’un tome supplémentaire. L’inversion du rapport : c’est désormais l’objet dérivé qui propulse la vente du livre.
Hall 5A E154 : avalanche de cadeaux chez Glénat
Le stand Glénat déploie son arsenal : poster A3 Dragon Ball Super dès le premier tome acheté, baguettes Sakamoto Days contre deux volumes ou un coffret, et surtout le shikishi en acrylique One Piece qui électrise les amateurs de Luffy. Aux côtés de ces incontournables, un ex-libris Ruridragon et une to-do list Promise Cinderella séduisent les profils plus contemplatifs.
Quantités limitées : cinquante shikishis signés Enaibi, Da Hosoi ou VanRah sont distribués chaque matin, obligeant les chasseurs à calibrer leur planning. Ceux qui arrivent tôt récupèrent également le magazine gratuit Glénat Manga News #11, un échantillon d’Astro Royale avant sa parution d’octobre et un poster exclusif des Noces des Lucioles.
Compléter la hotte devient un jeu savamment orchestré : planches A3 One Piece à 12 €, reproductions Tokyo Revengers à 10 € et cartes postales rétro à 5 € servent de monnaie d’échange quand les amis négocient entre eux.
Crunchyroll Store et géants du produit dérivé : la chasse continue
Hall 6 F628, le Crunchyroll Store mise sur Kaiju N° 8 : la carte lenticulaire s’obtient en un clin d’œil à l’achat de quelques volumes, tandis que Dandadan, Marriage Toxin ou Haikyû!! offrent stickers et shikishis au fil des transactions. L’approche très visuelle se distingue ; les cartes changent de motif selon l’inclinaison, parfaites pour les vidéos TikTok qui explosent déjà en vues.
L’écosystème se complète avec ABYstyle pour les mugs thermo-réactifs, Manga Story qui propose des signings surprises, et Otaku Mode pour les précommandes de figurines articulées. Chacun développe son identité afin de capter un public de plus en plus expert.
Les stands concurrents adoptent la même logique premium : Banpresto aligne ses dernières Masterlise, Good Smile Company exhibe une Nendoroid collector décorée de motifs dorés, et Kotobukiya déclenche les flashs avec un diorama Frieren de trente centimètres.
Kotobukiya, ABYstyle et le boom des pièces premium
Le marché monte en gamme : une poignée de figures sous vitrine peuvent dépasser les 200 €, justifiées par un tirage numéroté et des effets de peinture iridescente. Les fans assidus comparent la granularité des finitions et scrutent la stabilité des socles ; un léger défaut suffit à faire baisser la cote sur le second marché.
Les éditeurs surfent sur cette vague : Delcourt-Tonkam échange un tote-bag The JOJOLands contre trois tomes, Panini Manga réplique avec un standee Lycoris Recoil après deux achats, tandis que Ki-oon distribue un écusson Jujutsu Kaisen qui trouvera sa place sur un sac à dos My Hero Academia.
Un œil averti remarquera l’influence du marché américain : la cote Otaku Mode fixée au Japon rejaillit sur l’Europe, si bien qu’une figurine montée à 120 $ se retrouve revendue 180 € dès la fermeture du salon.
Conseils pour repartir les bras chargés sans exploser le budget
Première règle : connaître les prérequis. Affiches, ex-libris ou pins exigent souvent un nombre précis de tomes, détail signalé sur de grands kakemonos ; prendre une photo accélère la négociation en caisse. Deuxième règle : privilégier le matin pour les quantités ultra-limitées, puis revenir l’après-midi pour les articles vendus mais peu prisés.
Enfin, surveiller les animations : un photobooth My Love Story with Yamada-kun offre une jaquette alternative, tandis qu’un stand Doki Doki glisse un ticket de loterie dans chaque tome de Doomsday War. Un simple détour peut rapporter un éventail, un eco-cup ou un magnet, sans débourser un centime de plus.
Appliquées avec méthode, ces tactiques transforment la quête en expérience conviviale : échanges, astuces et fierté de repartir avec un sac plein pour un budget contenu. La magie opère lorsque le souvenir physique prolonge la passion vécue entre les allées bondées.

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.
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