FighterZ 2026 : un nouveau personnage dévoilé à l’EVO France choque les fans

À Nice, le Palais des Expositions a littéralement tremblé hier soir ! Bandai Namco a ouvert la finale EVO France avec un teaser de quelques secondes. Il confirme l’arrivée de Goku Super Saiyan 4 version Daima dans FighterZ 2026, et la salle s’est enflammée.

Les caméras n’ont même pas eu besoin d’insister : la clameur du public a couvert l’annonce. Trois ans sans réel DLC, puis ce flash, brut, presque insolent. Impossible de nier l’effet coup de poing.

FighterZ 2026 s’offre un coup de projecteur inattendu

Le jeu sorti en 2018 paraissait en mode survie, entretenu par des patchs d’équilibre. Pourtant, EVO France rappelle que l’étincelle n’est jamais partie. Arc System Works avait laissé entendre un port Switch 2, pas un nouveau guerrier, encore moins un héros tiré de Dragon Ball Super.

Cette apparition remet d’un coup la franchise sur la table des tournois. Oui, Sparking Zero domine l’actualité, mais la souplesse de FighterZ garde ce charme unique qu’aucune 3D n’imite. L’éditeur le sait : frapper tôt, frapper fort, puis expliquer plus tard.

Un personnage qui secoue l’équilibre compétitif

Goku SS4 Daima combine l’allonge d’un Broly et la mobilité d’un Gotenks : un cocktail effrayant. Les commentateurs prédisent déjà une réécriture des tier lists. Ceux qui misaient sur Vegito devront peut-être revoir leur copie, ou risquer un mur de poings rougeoyants.

Pourtant, un désaccord n’est pas un conflit : certains pros applaudissent la nouveauté, d’autres craignent un déséquilibre comme à l’époque de Bardock. Le dialogue monte, les patch notes tomberont le 12 octobre, et chacun pourra juger sur pièces.

Impact immédiat sur l’EVO 2026 et la scène esport

La direction de l’EVO valide déjà Nice pour 2026, preuve que le public suit. Avec ce nouveau roster, les organisateurs espèrent dépasser les 2 000 inscriptions, un seuil jamais atteint en France. Dragon Ball Super sert de réservoir narratif, et les fans spéculent sur Beast Gohan ou Omega Shenron pour le prochain slot.

Arc System Works, souvent taxé de distance, a répondu en direct : « Nous écouterons vos retours ». Une phrase simple qui apaise. Écouter, puis agir : la base d’un climat sain, même dans l’arène numérique.

Entre euphorie et crainte côté communauté

Sur Reddit, les memes fusent, les débats aussi. Les puristes redoutent un simple effet d’annonce, tandis que les plus jeunes réclament déjà des combos optimisés. L’histoire rappelle le lancement de Gogeta Blue : hype XXL, puis un mois de correctifs. Une leçon pas oubliée.

Néanmoins, un cadre clair rassure : patch jour 1, road-map trimestrielle, et une vitrine spéciale lors du Battle Hour 2026. Personne n’a envie de revivre l’attente stérile de 2023-2024 ; cette fois la parole est contractuelle.

Quel futur pour FighterZ et la licence Dragon Ball en 2026 ?

La série animée revient sur Crunchyroll, les romans spin-off cartonnent, et le merchandising ne ralenti jamais. Tant que l’écosystème respire, un jeu de combat peut durer. Street Fighter III a bien connu une seconde vie dix ans après ; pourquoi FighterZ n’aurait-il pas la sienne ?

Si l’équilibre suit, les joueurs suivront. En attendant, la meilleure stratégie reste d’observer, tester, dialoguer. Après tout, les RH du jeu vidéo, c’est le patch note : un cadre sans fermer la porte au plaisir.

Aurore

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.