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Dragon Ball Daima sacré meilleure série animée 2025 les fans parlent déjà de chef d’œuvre

Par Aurore , le 21 octobre 2025 à 23:56 — disco - 5 minutes de lecture
dragon ball daima élue meilleure série animée de 2025 : découvrez pourquoi les fans la considèrent déjà comme un véritable chef-d’œuvre !

Dragon Ball Daima vient d’empocher le trophée de la Meilleure série animée aux Astra Awards, et la nouvelle claque déjà la toile ! La franchise créée par Toriyama signe un come-back tonitruant alors que beaucoup misaient sur Solo Leveling. Sur les réseaux, ça s’enflamme : chef-d’œuvre pour les uns, surprise totale pour les autres.

En coulisse, la Hollywood Creative Alliance, installée à Los Angeles, assure que le vote fut serré. Pourtant, avec un score éclatant de 95 % sur Rotten Tomatoes, Daima possédait un solide matelas de critiques positives. Cette distinction américaine propulse l’anime au-delà du cercle des nostalgiques.

Dragon Ball Daima couronné : les raisons d’un succès immédiat

La cérémonie du 10 juin s’est déroulée sous les projecteurs hollywoodiens, et la saga de Goku a raflé la mise face à Fire Force, Dan Da Dan, Lazarus, The Apothecary Diaries et la saison 2 de Solo Leveling. Dans la salle, plusieurs journalistes ont reconnu l’effet nostalgie mêlé à une animation plus fluide que jamais. Le vote final a ainsi basculé vers Daima, preuve que la formule “magie + combat éclair” séduit toujours.

Certaines voix grincent, rappelant qu’il s’agit d’une récompense « 100 % américaine ». N’empêche, les chiffres sont là. L’audience du premier épisode avait déjà tutoyé les dix millions de vues en VOD mondiale, un record maison depuis Dragon Ball Super Broly.

Une instance critique en mutation

La Hollywood Creative Alliance ne se limite plus aux sitcoms occidentales : depuis 2023, elle réserve une catégorie entière aux animés venus d’Asie. L’ajout a redessiné la carte des récompenses télé, offrant enfin une scène à des studios japonais souvent boudés. En 2024, Solo Leveling ouvrait la voie, cette année Daima grave son nom, et l’an prochain ? Les paris sont déjà lancés !

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Retour aux sources : quand Goku redevient enfant

Daima ose ce que Super n’avait pas tenté. Tous les héros, ramenés à l’enfance, explorent le mystérieux Royaume des Démons évoqué depuis l’arc Piccolo. Ce parti-pris réveille l’esprit aventure des tous premiers tomes : moins de destruction planétaire, plus de forêt hantée et de gouffres magiques. Certains fans crient au génie, d’autres regrettent un enjeu jugé trop léger. Impossible pourtant de nier le plaisir visuel : éclairages saturés, chorégraphies millimétrées, couleurs vitaminées, la série carbure à la démesure.

Fait marquant, Akira Toriyama lui-même avait relu chaque script avant son décès. Son sceau rassure les anciens, tandis que la nouvelle génération découvre un Goku espiègle, plus proche du gamin qui dévorait des nuages que du guerrier divin d’Ultra Instinct.

Critiques et fans : la discorde savoureuse

Le fameux 95 % Rotten Tomatoes n’élude pas les reproches. Sur Reddit, on lit que l’humour “chibi” casse le rythme. Sur X, au contraire, les gifs de Goku miniature font des millions d’impressions. Le débat rappelle l’accueil mitigé de GT à l’époque, sauf qu’ici, la technique explose les standards. Même ceux qui râlent finissent par admettre que l’animation fait oublier les petites faiblesses du scénario.

Un signal fort pour toute l’animation japonaise

Le sacre de Daima s’inscrit dans une tendance plus large : l’animation nipponne gagne ses galons dans les remises de prix occidentales. L’an dernier, Hollywood saluait déjà One Piece pour ses voix anglaises. Cette saison, la catégorie performance vocale voyait figurer Stephanie Nadolny pour Goku enfant aux côtés de Seth MacFarlane et Kaley Cuoco, signe qu’un doublage venu de l’anime peut rivaliser avec les géants de l’animation US.

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Pour les studios, ce trophée change la donne économique. Les plateformes de streaming négocient déjà les droits de diffusion simultanée, et les marques flairent la manne des produits dérivés. Une figurine “Mini Goku” a vendu 50 000 unités la première semaine sur un site marchand américain, chiffre qu’aucune gamme Dragon Ball n’avait atteint depuis la folie Broly en 2019.

Des rivaux qui n’ont pas dit leur dernier mot

L’éclectisme de la sélection 2025 appelle la curiosité : Dan Da Dan mélange fantômes et ovnis, Lazarus joue la carte cyber-spirituelle, Fire Force embrase littéralement l’écran, The Apothecary Diaries fascine avec ses intrigues de palais et Solo Leveling muscle encore son esthétique RPG. Le public occidental dispose ainsi d’un buffet animé riche et coloré. La victoire de Daima ne clôt pas la compétition, elle l’intensifie !

Prochain rendez-vous ? La saison d’automne où plusieurs suites très attendues viendront tester la fidélité d’un public désormais acquis aux productions japonaises. Si Goku a décroché la récompense aujourd’hui, rien ne garantit qu’il la gardera demain. Et c’est tant mieux, la saine rivalité pousse tout le monde à viser plus haut.

aurore lavaud

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.

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