Dragon Ball Daima : Panzy et Kai suprême débarquent en figurines, premières images

La gamme S.H. Figuarts accueille deux nouvelles venues issues de Dragon Ball Daima ! Les premières images de Panzy et du Supreme Kai (Mini) viennent d’être dévoilées par Bandai, déclenchant déjà une ruée sur les précommandes. Les collectionneurs ont jusqu’à l’été 2026 pour préparer leurs vitrines, les stocks risquant d’être éphémères !

Chaque figurine miniaturisée affiche un sculpt affûté, des articulations discrètes et un paintjob digne des studios Tamashii Nations. Les boutiques spécialisées annoncent un ticket d’entrée autour de 59,90 €, avec un rappel clair : toute annulation entraîne une retenue de 10 € pour frais de traitement. Dans un marché où le moindre coffret s’arrache, la précaution est de mise !

Panzy et Supreme Kai (Mini) : des miniatures pleines de caractère

Avec ses 8 cm de haut, Panzy s’accompagne de son collier maudit, de trois visages alternatifs et d’une cape souple pour dynamiser les poses. Le Supreme Kai (Mini), lui, culmine à 7 cm et embarque cinq paires de mains, prêtes à saisir la fameuse Dragon Ball du royaume démoniaque. Leur plastique ABS/PVC reproduit fidèlement les teintes pastel de l’anime, gage d’une cohérence parfaite aux côtés du mini Son Goku lancé l’an dernier.

Les deux références peuvent se combiner, recréant la scène où le Kai libère Panzy de son carcan ; un clin d’œil que Bandai n’a pas manqué de souligner dans son teaser produit. Les fans exigeants noteront la compatibilité immédiate avec les socles Tamashii, pratique pour composer un diorama vertical sans craindre la chute.

Un collier amovible qui ravit les collectionneurs narratifs

La pièce maîtresse reste le collier magnétique, élément pivot de l’intrigue : il se détache sans outil grâce à un discret ergot dissimulé dans la nuque. Ce détail ravive la dimension storytelling chère aux gammes premium, déjà saluée sur les récents projets du Banpresto World Figure Colosseum. Pour beaucoup, l’accessoire justifie à lui seul la précommande anticipée.

Pourquoi Bandai mise sur le format mini en 2025

Le virage « pocket size » séduit un public urbain aux étagères limitées ; il réduit aussi les coûts logistiques, un point crucial depuis la flambée des matières premières. Bandai s’appuie sur le succès des séries mini de Ichibansho et de la collaboration récente avec Megahouse pour conforter sa stratégie. La firme espère ainsi détourner l’attention des licences super-héroïques concurrentes de Good Smile Company et Funko.

Autre levier : la sortie échelonnée jusqu’à août 2026 fluidifie la production et évite les retards en chaîne, fréquents en 2023-2024. Les revendeurs recommandent cependant de séparer les commandes si un article en stock accompagne une préco ; sans quoi tout partira d’un bloc, au risque de rallonger l’attente.

Un marché bouillonnant où chaque acteur veut sa part

Entre les dioramas ultra-détaillés de Figurama Collectors et les Nendoroid modulables de Good Smile Company, la compétition s’intensifie. Les salons 2025 montrent pourtant que le label S.H. Figuarts conserve un avantage : articulation invisible et fidélité chromatique. Les analystes attendent déjà les chiffres du trimestre 4 pour confirmer cette avance.

Aurore

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.