Dragon Ball Daima dévoile deux figurines inédites qui font trembler les collectionneurs

Deux nouvelles pièces issues de Dragon Ball Daima viennent d’être dévoilées et l’information a immédiatement embrasé les réseaux ! Signées Tamashii Nations, les versions miniaturisées de Goku et Piccolo promettent une avalanche de précommandes. Les fans redoutent déjà la rupture de stock tant la demande s’annonce féroce.
Figurines Goku Mini & Piccolo Mini : le duo qui affole les précommandes
Présentées en avant-première au San Diego Comic-Con 2024, ces statuettes sont les premières de la ligne SH Figurarts à reprendre l’esthétique enfantine imaginée par Akira Toriyama pour la série attendue en octobre. Chaque articulation est pensée pour reproduire les combats « mignons mais puissants » annoncés par le mangaka ; le Nyoibō rétractable de Goku est même inclus !
Selon Bandai, le tarif public conseillé reste contenu : 3 960 ¥ pour Goku (sortie octobre) et 7 150 ¥ pour Piccolo (décembre). La production limitée, habituelle pour la gamme, explique la fébrilité des collectionneurs qui redoutent un phénomène comparable au « sold-out minute » des figurines Banpresto en 2023.
Pourquoi cette annonce fait-elle tant de bruit ?
D’abord parce qu’elle confirme le virage visuel opéré par la franchise : tous les héros redeviennent enfants, une première depuis Dragon Ball GT. Ensuite, les figurines inaugurent une technologie d’articulation entièrement repensée, fruit de deux ans de R&D chez Tamashii Nations. Enfin, le calendrier de sorties échelonnées d’octobre à janvier entretient la rareté et pousse les fans à se précipiter.
À cela s’ajoute l’effet vitrine : une révélation au Comic-Con garantit une visibilité mondiale immédiate. Les forums spécialisés notent déjà une hausse de 20 % des recherches « Daima Goku Mini » sur les plateformes de revente, alors même que les précommandes officielles n’ouvrent que dans quinze jours !
Répercussions sur le marché des figurines en 2025
L’engouement autour de ces deux pièces devrait tirer tout le segment vers le haut. Les analystes prévoient une croissance à deux chiffres pour la branche « anime chibi » où opèrent déjà Good Smile Company et Funko Pop. Les préventes record poussent même des acteurs premium comme Prime 1 Studio et Tsume Art à envisager des formats réduits, jusque-là absents de leur catalogue.
Sur le second marché, la valeur de revente pourrait tripler en moins de six mois, à l’image de la première édition de Megahouse « Portrait Of Pirates Chopper ». Les boutiques françaises spécialisées préparent déjà des systèmes de file d’attente numérique pour éviter les crashs serveurs subis lors de la sortie des dioramas Kaiser Studio l’an passé.
Les concurrents fourbissent leurs armes
Banpresto planche sur une loterie Ichiban Kuji dont le lot A serait une fusion inédite ; la rumeur parle d’un mix entre Vegeta et Glorio. De son côté, Megahouse prépare une série « Capsule Time Machine » articulée, tandis que Good Smile Company annonce une Nendoroid de Gomah. Le message est clair : personne ne veut laisser le créneau tout public à Tamashii Nations.
Cet afflux de nouveautés devrait bénéficier aux détaillants indépendants, mais il obligera aussi les collectionneurs à prioriser leurs achats. L’époque où il suffisait d’attendre une réédition semble révolue : en 2025, chaque précommande compte.
Comment sécuriser ces pièces avant la pénurie ?
Première étape : s’abonner aux alertes officielles Figurarts et activer les notifications du site Tamashii Nations. Les créneaux de précommande ouvrent souvent à 4 h du matin heure française ; un réveil bien réglé fait la différence. Deuxième réflexe : suivre les revendeurs partenaires labellisés Bandai pour éviter les surcoûts du marché gris.
En troisième lieu, envisager la mutualisation des frais de port : plusieurs communautés Discord organisent des commandes groupées afin de réduire l’impact douanier. Dernier conseil : ne céder ni à la panique ni aux prix délirants dès la sortie ; l’expérience montre qu’une petite fenêtre de réassort intervient souvent deux à trois semaines après la mise en vente initiale.
Un mot d’ordre : anticipation et sang-froid
La frénésie actuelle peut pousser à des achats impulsifs, pourtant la patience reste la meilleure alliée du collectionneur averti. En surveillant les annonces officielles, chacun maximise ses chances sans alimenter la spéculation. Les prochains mois s’annoncent passionnants : qui décrochera ces deux figurines avant qu’elles ne disparaissent des rayons ?

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.
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