DLC Daima sur Kakarot : voici ce qui va (ou ne va pas) dans l’édition spéciale

Bandai Namco frappe encore ! À peine la mini-série Dragon Ball Daima terminée, le studio alimente déjà le jeu Kakarot avec une édition spéciale bardée de promesses. Reste à savoir si cette recette mêlant nostalgie et nouveautés tient réellement la route.
Dragon Ball Daima : pourquoi cette édition spéciale de Kakarot intrigue les fans
Sortie annoncée pour le 17 juillet 2025, la Daima Edition rassemble le titre de 2020 et la première partie du DLC « Adventures Through the Demon Realm ». Cinq ans après le lancement initial, voir Sangoku rapetissé déambuler dans un royaume démoniaque semble paradoxal : retour en enfance, mais challenge relevé ! L’enjeu est clair : relancer la courbe d’attention autour d’une licence déjà riche en contenus post-lancement.
Les atouts ludiques du Royaume des Démons
Le nouveau hub, nommé Troisième Monde Démoniaque, se distingue par ses îles flottantes et par un climat volcanique qui brouille le vol libre. Le studio introduit alors le Sky Seed, un déplacement fulgurant entre plates-formes, histoire de dynamiser l’exploration. Autre trouvaille : les « Rumeurs du Monde Démoniaque », fragments d’histoire à collecter qui enrichissent la trame tout en orientant le joueur vers des boss optionnels.
Contenu exclusif et lacunes de la Daima Edition
Côté personnages, Panzy et Glorio profitent d’un traitement scénaristique plus poussé qu’à l’écran ; un choix audacieux qui densifie la camaraderie autour de Sangoku. Le DLC ajoute aussi de nouvelles altérations d’état ; poison acide, confusion sonore, saignement vampirique : de quoi forcer les vétérans à réviser leurs builds. En revanche, l’absence de doublages français reste un angle mort, incompréhensible en 2025 pour un produit grand public.
Des mécaniques inédites… qui divisent la communauté
Les mini-défis « Sealed Gates » obligent à employer des techniques précises, mais bloquent la progression si l’on n’a pas anticipé son arbre de compétences. Sur les forums, certains fans applaudissent la difficulté accrue ; d’autres dénoncent un grind artificiel. Même controverse côté économie : les nouveaux matériaux d’artisanat ne se récupèrent que via d’improbables gobelins volants, ressuscitant le spectre du farming répétitif.
Un pari marketing malin mais pas sans risques
En incluant le jeu de base et deux parties de DLC à venir, Bandai Namco cherche à maximiser la valeur perçue pour les nouveaux joueurs. Pourtant, la compatibilité des anciennes sauvegardes reste floue ; ceux qui possèdent déjà les extensions précédentes devront peut-être repasser par la caisse pour accéder à la version physique. Le studio promet un correctif, mais l’édition spéciale paraît sortir avant que le cadre tarifaire soit stabilisé.
Réaction instantanée des fans et influenceurs
Quelques heures après l’annonce, la vidéo teaser cumulait déjà 1,8 million de vues. Sur les réseaux, l’enthousiasme se heurte à une question récurrente : un arc aussi récent mérite-t-il deux volets de DLC ? L’historique du jeu montre pourtant qu’un contenu fractionné peut maintenir l’engagement sur le long terme, à condition de livrer une densité narrative à chaque sortie.
Verdict provisoire : la Daima Edition s’annonce comme une bouffée d’air frais pour les nouveaux venus, mais son équilibre entre fan-service et innovations reste fragile. À quelques mois du lancement, les développeurs devront encore affiner la localisation, la difficulté et la lisibilité des futurs achats pour transformer cette belle promesse en épisode vraiment incontournable.

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.
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