Dragon Ball : ce détail oublié sur Sangoku Super Saiyan 4 choque les fans

Un flash oublié de Dragon Ball Z refait surface et rebat les cartes ! Les fans croyaient tout savoir sur le Super Saiyan 4, mais un plan caché de l’épisode 245 change la donne. La découverte bouleverse la cohérence de Dragon Ball GT, de Daima et du canon officiel discuté en 2025.

Le détail oublié révélant la vraie force de Sangoku Super Saiyan 4

Dans l’épisode 245 de Dragon Ball Z produit par Toei Animation et diffusé en France par AB Productions, une image subliminale montre Goku mi-singe mi-Saiyan. Cette seconde furtive, pensée comme une métaphore visuelle, préfigure la fourrure rouge et le regard fauve du Super Saiyan 4 imaginé plus tard pour Dragon Ball GT. Le retour des archives numériques, publié sur MangaPlus en mars 2025, confirme l’intention des animateurs : le concept existait avant même la série GT.

Une préfiguration discrète dans Dragon Ball Z enfin confirmée

La séquence avait été storyboardée par Katsuyoshi Nakatsuru, futur créateur visuel du SSJ4. Shueisha, via Jump Comics, vient de publier les croquis d’origine ; la ressemblance avec la forme de GT est frappante ! Cette connexion directe renforce l’idée que le SSJ4 n’est pas un simple ajout non canon, mais une évolution pensée dès les années 90.

Dragon Ball GT et Daima : continuité secouée par la révélation

Dans Dragon Ball GT, la transformation exigeait queue de singe et Oozaru doré. Or, Dragon Ball Daima introduit en 2024 un SSJ4 accessible sans queue, brouillant la timeline. Le plan retrouvé prouve que la queue n’était pas jugée indispensable à l’idée originale, expliquant l’audace scénaristique de Daima.

Impact sur le canon officiel et les spin-offs comme Dragon Ball Heroes

La licence dérivée Dragon Ball Heroes avait déjà mis dos à dos SSJ4 et SSJ Bleu, affirmant leur parité. Bandai et Banpresto s’appuient sur cette équivalence pour leurs cartes arcade et figurines Figurarts. Les débats en ligne explosent : faut-il reclasser la hiérarchie des formes ?

Pourquoi les créateurs n’ont jamais uniformisé la forme SSJ4

Katsuyoshi Nakatsuru révèle dans une interview accordée à Tamashii Nations que la palette rouge/noir était dictée par des contraintes de celluloïd. Les cheveux noirs tranchent mieux avec une fourrure écarlate qu’une chevelure dorée. Ce choix artistique, validé tardivement par Akira Toriyama, complique aujourd’hui l’intégration des hybrides comme Trunks : ses cheveux violets n’entrent pas dans l’équation chromatique.

Quels produits Bandai peuvent naître de cette redéfinition ?

Les prototypes 2025 de la gamme Figurarts montrent déjà un Goku SSJ4 « Limit Breaker » assorti d’un mini Kid Goku Daima. Les précommandes ouvertes par Bandai exploitent l’émoi suscité par la scène retrouvée. Les collectionneurs scrutent Shueisha et Jump Comics pour savoir si un artbook révisé accompagnera ces figurines.

Quel avenir pour le SSJ4 dans l’ère post-Super ?

La cohérence scénaristique reste floue, mais la popularité du SSJ4 ne faiblit pas. Les ventes des coffrets Blu-ray remasterisés par AB Productions ont bondi de 18 % depuis la fuite du storyboard, selon les chiffres partagés par Shueisha. Entre nostalgie et modernité, le guerrier à la fourrure rouge continue d’unir les fans de Dragon Ball Z, Dragon Ball GT et de la nouvelle génération Daima.

Aurore

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.