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Découvrez les œuvres en lice pour la pré-sélection du prestigieux prix Clouzot 2026
Chaque année, le Prix Clouzot de la bande dessinée met sous les feux des projecteurs des albums originaux. Ce prix prestigieux récompense l’adaptation d’un roman noir ou policier en BD. Pour l’édition 2026, la compétition s’annonce particulièrement captivante !
Le prix Clouzot 2026 : un hommage à l’art du roman noir en bande dessinée
Créé en 2018, le Prix Clouzot célèbre la mémoire du cinéaste Henri-Georges Clouzot, natif de Niort. Il distingue les meilleurs albums adaptés de romans policiers ou noirs, un genre à la fois sombre et fascinant. Chaque lauréat reçoit une dotation de 1500 €, offerte par la Ville de Niort.
Le prix est remis lors du Festival Regards Noirs, un rendez-vous incontournable pour les amateurs du genre. Cette année encore, la sélection met en lumière cinq œuvres parvenues en tête des publications 2025. Voilà qui promet des débats animés !
Une pré-sélection rigoureuse menée par des experts passionnés
La sélection est l’aboutissement d’un travail méticuleux mené par Frédéric Prilleux et Julien Védrenne, deux spécialistes reconnus de la bande dessinée. Leur regard avisé garantit une sélection pertinente et équilibrée. La diversité des œuvres retenues reflète la richesse actuelle du roman noir en BD.
Le jury final, composé de sept membres, réunit à la fois experts et amateurs éclairés : six « non-spécialistes » issus du livre, des arts visuels ou des associations de promotion de la BD, ainsi qu’un conseiller spécialisé. L’esprit d’équipe et le dialogue seront clés pour départager à la fois émotions et technique.
Les albums en lice pour le prix Clouzot 2026 : au cœur de la noirceur et des mystères
Une sélection qui fait honneur à la variété du genre noir prisé par le public. Les cinq œuvres sélectionnées mêlent classics et nouveautés, plongeant dans des univers aussi captivants que sombres. Chacun de ces albums possède une personnalité forte.
Le fantôme de l’opéra (Dargaud) revisite le chef-d’œuvre de Gaston Leroux. Les frères Brizzi signent une adaptation qui mêle frayeur et poésie, sortie en janvier 2025. Ce classique intemporel reprend vie en BD avec un dessin à la fois réaliste et atmosphérique.
La Proie (Dupuis) est portée par la plume graphique de Kieran et Doug Headline. Adapté du roman de Donald E. Westlake, ce titre sort en mars 2025. Son intrigue haletante captive par son rythme soutenu et ses personnages torturés.
La veuve (Glénat) est signée Glen Chapron d’après Gil Adamson. Parue en janvier 2025, cette BD explore avec finesse la résilience au féminin, dans un cadre où la tension dramatique ne faiblit jamais.
La Maison du canal (Dargaud) nous plonge dans l’atmosphère oppressante de la campagne flamande. Édith et José-Louis Bocquet adaptent avec brio le roman de Georges Simenon, paru en septembre 2025. Le contraste entre lumière blafarde et secrets familiaux crée un terrain fertile au suspense.
Le Roi sans couronne (Sarbacane), signé Toni Carbos, tire sa source du roman de Javier Cosnava. Sorti en septembre 2025, l’album propose un univers sombre où le poids du passé et de la destinée s’entremêlent. Ce titre promet de surprendre par sa force narrative.
Un plongeon dans les ténèbres humaines à travers la BD
Ces œuvres démontrent que le roman noir n’est pas qu’une simple histoire de crime. C’est aussi une exploration des profondeurs de l’âme humaine. Georges Simenon, par exemple, utilise La Maison du canal pour sonder les contradictions familiales et les drames personnels.
Les dessinateurs s’attachent à donner une matérialité à ces émotions complexes. Le trait graphique devient alors un vecteur puissant pour révéler des ambiances lourdes, quasi palpables. Une invitation à plonger sans retenue dans des récits où la lumière et l’ombre s’affrontent sans cesse.
Source: www.vivre-a-niort.com
Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.
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