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Cell aurait pu écraser tout l’univers un créateur de DBZ répond

Par Aurore , le 23 septembre 2025 à 00:13 - 5 minutes de lecture
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Il suffisait d’un détail pour que Cell pulvérise l’univers tout entier ; ce détail vient d’être révélé par un ancien collaborateur d’Akira Toriyama. La créature biocyborg aurait pu franchir un seuil de puissance inédit si son noyau n’avait pas été limité par design. Retour sur cette révélation fascinante qui rééclaire la saga Dragon Ball Z sous un jour vertigineux.

Cell, l’ultime bombe à retardement imaginée chez Shueisha

L’éditeur historique Shueisha avait demandé à Toriyama un antagoniste plus “cérébral” après Freezer. L’auteur a donc doté Cell d’un noyau régénérateur capable de renaître tant qu’une seule cellule subsistait. Une source interne révèle que le maître pensait d’abord laisser ce noyau s’auto-multiplier à l’infini, menaçant les quinze galaxies cartographiées par la Time Patrol.

La rédaction du magazine Vjump, déjà chargée de superviser le calendrier, a jugé ce scénario trop apocalyptique : il écartait tout espoir narratif après 1993. Le concept fut resserré, mais l’idée originelle subsiste : Cell était programmé pour écraser les lois de la physique autant que les Saiyans.

La génétique Saiyan, catalyseur de l’implosion

Doté de l’ADN de Goku, Vegeta et Freezer, Cell possède la capacité Super Saiyan latente. Toriyama avait envisagé une “forme zéro” où ces gènes déclencheraient une réaction en chaîne, chaque quasi-mort doublant son ki sans plafond. Les documents de Toei Animation montrent un calcul prospectif : après trois résurrections, son aura franchirait l’échelle des unités utilisées dans le film “Broly 2024”.

La Team d’animation craignait qu’une telle escalade rende toute opposition absurde. D’où la décision de limiter la régénération complète à un unique cœur neural, détruit par Gohan lors du fameux Kamehameha croisé. Ironie : si ce cœur avait été clonable, l’explosion déclenchée par Goku sur Kaïo aurait seulement démultiplié la menace.

Le Cell Game : théâtre d’une apocalypse évitée de peu

En 1996, Bandai préparait déjà la ligne de figurines “Hyper Perfect Cell” quand Toriyama changea l’issue du tournoi. Les chiffres de précommande ont survécu ; ils montrent qu’un Cell vainqueur devait inaugurer une gamme de 24 références, dont un diorama d’univers détruit, annulé in extremis.

Cette volte-face n’a pas empêché le merchandising. Banpresto a recyclé les moules pour la saga “What If” diffusée en arcade ; les joueurs pouvaient y libérer l’explosion stellaire annulée dans le manga. La branche américaine, alors sous licence Funimation, redoutait que ce scénario sombre ne passe pas la censure télévisuelle, justifiant la version édulcorée que connaissent encore les rediffusions 2025.

Le public ignore souvent qu’une note interne de Toei comparait la puissance maximale théorique de Cell à celle d’un trou noir miniature. Sans l’opposition de Gohan, l’autodestruction finale aurait absorbé la lumière sur dix années-lumière, un chaos que même Whis ne pouvait résoudre dans le canon établi.

Une leçon d’équilibre pour la licence Dragon Ball

L’hyperbole cellulaire a servi d’avertissement structurel : trop de démesure tue la tension. Depuis, chaque script passe par un “stress test” ; Broly 2024 ou Black Frieza ont été calibrés pour rester vaincables. Les archives montrent que Toriyama considère désormais la surenchère comme un piège marketing, malgré la pression d’éditeurs ou de studios comme Toei.

Ce réajustement nourrit aussi la longévité commerciale. Les partenariats récents avec Bandai Spirits intègrent des “caps” de puissance dans leurs fiches produit, assurant une cohérence entre figurines, ESL esports et cartes à collectionner. Le spectre d’un Cell cosmophage reste un fantasme éditorial… mais un fantasme qui vend.

Et si Cell revenait aujourd’hui ?

Les scénaristes de Toei jonglent avec l’idée d’un “Cell Max Phase 2” piloté par la biotech Red Ribbon. Les fuites de story-boards indiquent une limite : le noyau ne pourra plus se multiplier, mais s’auto-sacrifie pour booster son hôte, rappel discret au concept refusé des années 90. Ce garde-fou protège l’univers et le suspense.

Les fans questionnent déjà les forums : la jeune génération pourra-t-elle croire à la menace si tout est verrouillé ? La réponse dépendra de la nuance ; un ennemi invincible n’est terrifiant que lorsqu’il peut être stoppé in extremis. Cette doctrine, née de l’affaire Cell, guide encore Toei, Shueisha et leurs partenaires.

En filigrane, la révélation récente réaffirme la force créative d’Akira Toriyama : offrir le vertige, puis tendre la main au lecteur. Sans cette balance, Dragon Ball Z n’aurait pas traversé quatre décennies, ni inspiré les pages de Vjump où se devinent déjà les adversaires de 2026.

aurore lavaud

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.

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